les lectures de cilia

4e de couverture

A quelques km d'Oslo, l'hôpitel psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmis les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l'insprectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que rien ne concorde. Le patien 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres - un cri de terreur primale. Soumise à un comtpe a rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse  sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...

Mon avis

Ce livre est juste wouhaou!

Dès les premiers chapitres on est dans l'ambiance et l'enquête démarre. Le rythme de l'intrigue est soutenu et j'avais très peur qu'au milieu tout retombe comme un souflé, comme c'est souvent le cas quand ça démarre vite.

Mais pas du tout, jusqu'à la fin les lignes s'enchaines sur des découvertes de plus en plus étanges, parfois dérangeantes.

La théorie de la fin sur l'explication de la vie après la mort est d'ailleurs intéressante. J'ai comme l'impression de ne pas être sortie indemne de cette lecture tellement elle était riche en découvertes.

L'auteur explique même à la fin qu'il s'est basé sur certains éléments véridiques et prouvés scientifiquement.

Si vous aimez les enquêtes qui tournent autour des possibilités du cerveau (accessoirement découvertes sous torture) vous aimerez surement ce livre.

Vous l'avez lu?